Et on dit qu'en enfer il fait plus chaud ?

Je me suis toujours demandé à quoi ressemblait ce grand
volcan … plus d’une fois, mes fidèles espions m’ont rapportés que, nos chère
confères les Héphaïstos s’amusaient à le réveillé … ils sont quand même un peu
sadique ces chevaux ! Brulé des pauvres créatures … à vraiment !



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L’après-midi battait son pleins … le soleil torride à cet
heure-ci brulait tout … comment pouvait vivre le clan du feu par une pareil
chaleur ? Et qu’elle idée de s’aventurer ici … aride, sable, cailloux,
super comme endroit non ? Ravissant pour les vacances, il manque la mer …
Au milieu de la plaine de cendre du volcan, un grand étalon
se mouvait en silence … ronchonnant par si par là… décidément la couleur noir ça
fait bien vilain, mais qu’es que ca tiens chaud ! Non pas que Valsrine est
une chochotte.. Mais vraiment il faut l’avoué au delà de cette plaine grise, aucun animal hormis les Héphaïstos peut s’y aventurer …
Dommage l’étalon aurait aimé découvrir le volcan, fraichement endormie…
Des petits malins avaient joué à un jeu très populaire :
chaud aux fesses !
Marrant comme nom … Valsrine, s’amusait d’un rien, il aimait découvrir, pour
mieux détruire … logique purement Hadès…



la plaine sans arbre offrait une
parfaite piste pour le galop … il semblait être seul.
Quelque secondes après, l’étalon se cabra et galopa à vive
allure … on peut être un cheval craint dans toutes les régions, il en est néanmoins
qu’un cheval … et les équidés vivent pour la course !

Chaque fois que ses sabots touchaient le sol, un bruit
sombre s’échappait ! L’étalon était en pleine création … de la brume noir
vaporeuse se forma autour de lui, des bruits de tonnerre, des cris strident,
des formes étranges … bref il est
content !


Une bonne heure de galop plus tard …
Ravi de s’être défouler un peu … notre jeune ami, continua
sa marche monotone … par chance il n’avait pas faim … sinon le menu du jour
serrait … Un Héphaïstos !!! … chair chaude, épicé et coriace, un met
passable … mais bon faut se contenter des spécialités locales, quand on visite.

Valrine se mouvait en silence… les cendre s’emblaient crépiter par moment. La chaleur aride de ce lieu devait déclenché des feux… enfin si il y avait de quoi brulé… quelques herbes sèches parsemaient ce paysage monotone.. il avait l’impression de se trouver aux portes de l’enfer par moment. Le paysage gris, le sentiment d’oppression… un petit air de chez sois !

Le vent, doux souffle brulant, vos naseaux, jusqu’aux poumons … l’odeur d’une créature s’y étais clissée … très vite la silhouette d’une jument marqua l’horizon… assez grande et massif, elle avait de long crin ondulée... L’étalon, ronfla des naseaux, pour mieux décelé l’identité de celle-ci … inconnue au bataillon …
Il s’avança de quelques pas. Laissant la demoiselle venir a lui. Sachant pertinemment que beaucoup de chevaux, fuie à son arrivé, il laisse ainsi le choix, de la rencontre ou non. Valrine n’avait guère envie d’entendre des cris, même si cela arrivé… les cris sa l’horripile … et il en tuer pour moins que ça.
Par chance, elle surgissait au bon moment, le ventre pleins le dominant avait peu de chance de la massacré pour rien.

Elle semblait sur ses garde… normal … les brumes noires crée durant sa folle galopade n’avaient pas encore disparue, laissant une ombre terrifiante derrière le grand animal d’ébène.
En quelques mouvements de queue, elles s’estompèrent pour s’évaporées comme par magie… il est question de ne pas effrayer notre demoiselle, déjà qu’à la base il est suffisamment effrayant … dû moins sa réputation et ses actes.

Décidément, notre étalon rencontre que des demoiselles
courageuses ces temps ci… il est vrais qu’il s’attendait à la voir détaler, une
fois arrivée près de ses naseaux… mais non. La discutions allait être prometteuse,
les chevaux avec un peu de forces en eux sont souvent intéressant à étudier. Son
visage était froid, impassible … un vrais mur, de l’acier… une référence :
une grille, une gardienne de prison qui ne l’aise rien échapper aux autres.





Maudit soleil, il cramait avec sa robe noir … bientôt il ressemblera
à un poulet rôtis… un poulet … comme c’est Caucase. Il s’imaginait bien avec
une broche cuit sur des flammes … mais ou va-t-il chercher de tel idées ? …
a vraiment la folie accompagne trop souvent les génies ou dû moins les êtres
qui on un surplus du coté neuronales…


Bref repassons à cette jument pie … non, arrêter avec la
chaleur … passons à la froideur … elle semblait emplie d’une grande sagesse…
oui elle respirai ce sentiment, calme, apaisant … et l’Athéna … AH ! Tiens,
les deux clans ne s’aime guère … pour Valsrine il s’en fou, tant que personne
viens le gêné dans ces pattes, il n’a rien contre les clans. Qu’on soit fou
allié comme les Dionysos, écolo comme les Gaia, sage comme les oracles, caractériel
comme les Héphaïstos, charmeur comme un Aphrodite ou même froid comme un Athéna
… cela le laisse sans opinion… les clans ne veulent rien dire, les chevaux qui les peuples si.





-Bonjour Valsrine, et vous ?





Ses tirades était aussi polie que celle de notre jument pie
noire… mais sa voix était dénuée de vie avec un fort accent ténébreux d’outre
tombe …





Pas besoin de préciser qui il était, son rang importait qu’une simple information … et bon son nom était connus dans les terres … le
seul équidé à manger exclusivement de la viande. Autant de fables circulai sur
lui que sur son terrifiant clan … un Hadès c’est si, un Hadès c’est ca … oui
les Hadès ca représente la mort et puis voila. La peur des autres étaient tout
simplement pathétique … mais bon c’est mortel comme sentiment.

Aux propos de la jument, l’étalon noir eu un petit sourire
aux coins. Celle-ci ne semblait pas se déconfire à son nom… a vrais dire notre
belle amie semblait indifférente. Dominant Hadès carnivore ? ah ok, bon passons
a autre chose. Cette mentalité peut commune fit jaillir un rire amusé de la créature
ébène… oui il en faut peu parfois. Comme je l’ai cité auparavant, la folie est
l’amie de toute personne… surtout chez lui.


La révérence était chose commune … beaucoup d’équidé s’y adonnais
… tel des lèches bottes. Valsrine n’a jamais accordé une quelconque importance
à ce geste futile. Il n’a pas besoin qu’on se plis a lui.


Quiero … un nom a consonance latine … aimer … elle semble
froide et stoïque pour porter un tel nom. Peut être avait-t-elle un cœur d’or ?
Oui surement, elle avait l’apparence d’un sage désireux de savoir, et après tout
d’aimer son prochain. Bref … elle nomma l’enfer … les flammes brulante de se
sombre territoire … oui la chaleur est intenable, mais les Hadès ne ressente
pas cette chaleur.





-en est fait, la robe noire n’est pas la meilleur pour se
faire bronzer près du volcan. Je serrais
curieux de savoir votre raison à vous aussi. La mienne est par pure curiosité …
et j’espérais tomber sur une saveur locales pour mon diner, voulez vous y
joindre ? Goutter une autres saveur que l’herbe fade des pairies ?




La jument avait quelques petits tics … il faut être
observateur, pour comprendre ses questionnements intérieur ou télépathes … les Hadès
ont se don … elle aurait aimée que notre étalon lui dise qu’il est, qu’il
explique bien des choses… a vrais dire Valsrine est peu être un peu trop
modeste, pour parler de lui. Il aime entendre les autres parlers, pour mieux les
analysés, mais jamais il n’a fait ce cheminement pour sa personne. L’étalon
dressa l’encolure … le vent chaud lui rapportait l’odeur du sable poussiéreux …
des être vivant autres que les équidés étaient en chasse non loin de là.




-venez.




Curieux de découvrir ses créatures, il entama la marche… invitant
sa nouvelle compagnie du jour a partager cette découverte. Valsrine n’est point
un associable, il peut se montrer très courtois voir agréable (soyons fou) avec
ses congénères. Tout dépend des circonstances… Après quelques pas, il se tourna
guettant la réaction de Quiero… il serrait dommage de couper court à une discutions
prometteuse.





(bon je préviens mon perso et complètement étrange et fou
par moment ^^)

Il aurait été juste de marquer un temps d’arrêt aux propos
finaux de la demoiselle… voulais telle gouter à la chair ? Au sang cuivré
et épicé ? Non valsrine ne rêvait pas, elle en avait vraiment envie. A ses
paroles l’étalon ébène, la toisa, un regard inexpressif, sans haine, ni autre
sentiments propre aux Hadès. Après tout la mort est vu que sous l’angle de
sentiment détestable… mais celle-ci peut être autrement… non conforme a nos
idées reçut. Les démons ne sont pas tous assoiffés de meurtre ou de tuerie… ils
sont avant tout doués d’un cerveau… et la souffrance peut se traduire autrement
que par la violence.


Bref revenons a notre discussion… Valsrine fut enchanté d’apprendre
que pour une fois on acceptait son mode « d’alimentation » (et
son invitation) sans être dégouté et partir en courant.




-Une vagabonde ? Vous êtes rattaché a un clan, dû à
votre pouvoir. Le terme le plus approprié serrait indépendante.




Oui les vagabonds, dit chevaux sans clan et sans pouvoirs,
son traqués et exterminés par les autres. C’est l’une des règles fondamentales
d’hystory horse … certain dominant l’applique si bien, qu’ils tuent sans se
rendre compte qu’ils ont ôté la vie à un être vivant… la soumission aux règles
et parfois un aveuglement flagrant. Quand à Valsrine il n’écoute qu’une règle :
la sienne, s’il juge que cette personne doit mourir, il la tuera, sinon non. Forme
d’égocentrisme ? Non pas vraiment, il n’aime pas se sentir enchainé… après
tout notre étalon est pas comme les autres… de nombreuse légende cours sur lui…
éternité, démon, enfant de la mort ect … c’est peut être pour cette différence
qu’il n’obtempère pas aux lois. Et par son indépendance la belle Quiero aussi. Rebelle
sans le savoir, libre de galopé ou bon lui semble, elle prend le risque de
croiser des bonnes ou des mauvaises rencontres. Prête à mettre sa vie en péril
à chaque foulés. Oui ca c’est être free !




-vous êtes la première créature herbivore qui accepte de
partager un repas de viande. Je tiens 'à vous dire que j’en suis agréablement
surpris.




La peur ne semblait pas habiter dans cette jument, la soif
de la découverte oui … très vite elle rejoignit Valsrine pour partager une
promenade… il faut avouer que pour une fois l’étalon appréciait sa compagnie du
jour, aucun signe d’agressivité, ni de peur, ni d’arrogance… rien qui empêche
la discussion, ni entraine un sentiment pathétique.


La vie de dominant des enfers a ses avantages et ses inconvénients,
pour une créatures qui aime observer, étudier, parler comme valsrine (tout en
étant un tueur sans pitié), le manque de compagnie et les cris des autres
chevaux a son approche a le don d’exaspéré … et quand on l’exaspère on meurt .




-des coyotes… avec … ah bah oui ! Un Héphaïstos !




Un cheval de feu c’été fait prendre dans la ronde des chiens
sauvage… en approchant, le pauvre équidé se débattaient contre la meute de plus
en plus grande… mais les coyotes faiblissait, le feu les tétanisaient … mais
cette scène était à double tranchant… le jeune étalon prétentieux perdaient
beaucoup d’énergie… pour une efficacité douteuse… il concentrait ses flammes
pour bruler les coyotes … qui sous la perte de l’un de leur redoublaient d’agressivité.
Allez savoir lequel du coyote ou du cheval avait commencé la dispute.




-a vous de choisir demoiselle… coyote ou Héphaïstos au menu ?






Valsrine avait le pouvoir et la force de mettre fin aux vies
de la meute et d’un jeune étalon… qui faut l’avouer se battait bien, mais par
son inconscience avait fait de nombreuse bêtises dans sa vie, entrainant la
mort de ses proches et sa prétention le rendait imbuvable … c’est pratique d’être
télépathe non ? L’étalon plongea son regard sans vie dans celui de la
jument … voulais telle de plus ample information avant de choisir ?

Le jeune étalon hennissait rageusement, espérant que son triste
courage, éloigne les coyotes affamés… Valsrine renâcla bruyamment en tapa son
postérieur gauche contre le sol… un son pareil au tonnerre déchira la terre…
les canidés relevaient la tête vers les
deux étranges équidés … il n’en fallu pas plus pour que la meute gémisse de
peur … le chef des coyotes s’avança vers le dominant Hadès pour le sentir…
laissant un jappement s’échapper de sa bouche ensanglanter … une vielle connaissance.
Valsrine le salua d’un bref signe de tête avant de se cabré. Marquant la fuite
définitive de la meute. Le chef hurla tout en donnant un dernier coup de crocs au
jeune étalon.


Les coyotes sont des créatures lâche mais suffisamment intelligente
pour fuir en présence d’être plus fort. Ses maudits chiens avaient dans le
passer croisé le chemin des Hadès … et ont garder une mauvaise image des
pouvoirs de ses chevaux… tout prédateur trouve plus fort que lui…


Déplus deux chevaux en pleine santé, son de redoutable
adversaire…





-et bien aujourd’hui votre monotonie se brise, Quiero.





Un bref sourire sans signification se dessina sur le visage
ténébreux de l’étalon… soudain les ronflements du jeune interrompis le l’échange
d’informations entre la jument et le démon… n’étais t-il pas en assez mauvais état
pour en plus hausser défié le grand noir ?





-mon jeune ami, garde tes forces pour nous offrir un combat
digne de ce nom ; ainsi ton âme aura peut être réussit à se faire pardonné
de toute les fautes que tu as commise…





Cela pouvait choquer, d’entendre un Hadès parler aussi calmement
a un futur mort … mais Valsrine considérais les dernière paroles comme une salutation
pour les enfers… et cela ne servait a rien de les charger de haine… un signe de
son éducation… le respect des mort, car les Hadès les côtoient aux portes des
enfers …





-démon ! Je vais vous brulé, toi et ta poule à plaisir!





-en voila des manières de traité une jeune demoiselle
indépendante et libre ! Soit, tu mourras avec … beaucoup de souffrance,
pour cette offense.





La dernière phrase était dite sous un ton des plus sombre …
la voix si dénué de vie du noir semblait se teinté d’une énergie malfaisante,
presque jouissif ! Valsrine se contrefichait qu’on l’insulte cela ne l’atteint
même pas… mais traité une aussi agréable compagnie de poule à plaisir … en
voila une raison de prendre un certain plaisir à torturer un pauvre être sans défense!
Il se dressa majestueusement, battant ses lourdes pattes sur le corps meurtrie
du jeune Héphaïstos qui n’avait même plus la force de cracher des flammes…
Valsrine n’accaparait pas le futur repas, il se retirait de temps à autre pour
laisser Quiero, donner ses coups …oui la mort s’offre.





-je vous laisse le délivré de son enveloppe charnelle ?





Une jolie offre de la part du dominant, qui d’habitude achève
ses proie avant de les servir… mais comme notre belle demoiselles semblait ivre
de découverte, elle pouvait bien avoir l’envie de tuer sa première créature…


Valsrine avait remarquer qu’il n’étais guère obligé de
parler avec elle, pour qu’elle comprenne… il lui montra d’un simple regard, l’encolure,
et une zone bien précise … il suffisait d’un coup de dents ou de sabot suffisamment
violent pour tuer l’animal en toute simplicité.

Le jeune étalon, succomba … dans un râle … Valsrine ne pouvait s’empêcher de ressentir une certaine satisfaction … non pas de la mort du jeune mais de la manière dont Quiero est mit fin a sa triste vie. Il sentie un bref instant, le mal l’envahir … mais il ne resta pas longtemps … comme un nouveau voisin se présentent …
De longue minute, la jument regarda le corps sans vie du déjeuner … elle droite et carré, elle avait tué d’une manière franche l’animal … l’étalon noir hocha la tête satisfait…

Il poussa quelque minutes après un terrifiant hennissement, pour chasser définitivement les coyotes qui rodaient encore et encore… c’est assez agacent de se sentir épié lors de son repas.
De son sabot il matelas le ventre, la pauvre bête, qui était secoué de spasme … et le sang coula le long de son bouche … du sang coagulé par l’effort… Valsrine n’aimait guère boire du sang solide, d’ou son geste…
Il arracha la peau du ventre du jeune Héphaïstos … la chair dévoilé par cette chaleur allait très vite attirer toute sorte d’insectes nuisible …

-a vous l’honneur.

Valsrine créa autour d’eux une sorte illusion pour cacher leurs présence, il serrait bête que des chevaux de feu remarque leur homicide et tentent de les chasser … ou bien d’être déranger par d’autre créatures …

(dsl c’est nul)

La jument semblait perdue dans ses pensées … voyait-elles
sont dieu ? Athéna lui reprochant son acte ? Peut être … du point de
vue de grand noir, tout être vivant peut ôter la vie … après chacun ressent
quelque chose ou non…


Les insectes non dupe
de l’illusion de valsrine, prenait l’assaut, attiré par la chair fraiche …
outré Vlasrine se cabra, retomba dans un bruit de tonnerre, et les insectes
furent chasser par une main noir… on ne dérange pas le maitre de la mort durant
son repas !





- comment trouvez-vous la chair ? Regrettez-vous l’herbe
dodue de vos plaines ?





L’étalon déchira la viande de l’encolure, pour y déguster le
sang chaud… avant de s’attaquer aux tissues moues et fondant… il est
regrettable qu’il ne sache point utilisé le feu, un barbecue aurait été fort
plaisant.

(peut être ... Intéressant)

Au plus grand étonnement du grand étalon, la jument, tel une
bulle, éclata …le bien venait de reprendre la marche de son esprit…
avouant à haute voix qu’elle était faible. Ses propos étaient destinés à elle-même… une
sorte de sermon. Le regret, la dure réalité, voir qu’au final… elle fait preuve
de sentiment… malgré que ceux-ci aient disparue lors de la mise à mort…

Son comportement attisa la flamme de curiosité de Valsrine,
grand observateur de la psyché. Il avait dû mal à comprendre… elle qui
paraissait si forte, froid impénétrable avant, laissait tomber son masque…
Il commença à douter … elle qui au début lui plaisait bien, se transformait en une
créature méprisante ? Son pétage de câbles, était surement une mauvaise
passe … dû moins il le fallait, car il ne donnerait pas chère de sa vie, si
elle se révélait être une jument sans valeurs…


Les mots « faibles » retentissaient comme des
épines, arrachant tout sur son passage… Valsrine haïssaient ce mot ! La conscience
préconisait d’évité de nommé ce mot en sa présence… les magnifiques yeux verts
émeraudes, varièrent au rouge sang… des yeux terrifiant… son regard avait pour
habitude de changer de carnation selon ses humeurs…
Valsrine ronfla des naseaux, certes il était terrifiant
comme cela… mais il était d’un calme des plus platoniques… toisant la jument
qui se lamentait.

-faible ? Comment une créature faible aurait haussé
tuer de sang froid ? Vous semblez mal vous connaître. Rejetez sa part d’ombre,
n’est pas une bonne idée, il faut l’accepter.
Le bien et le mal, ne sont que des clichés. Des chevaux dit
de biens, peuvent faire autant de mal que des chevaux rongé par les pulsions démoniaques.

Il aurait été logique que la colère de Valsrine se traduise
par un anéantissement de la jument. Mais celui-ci ne le fuit point. Non pas,
par compassion ou tous autres sentiments qui lui sont inconnue. Par sagesse…
oui ca lui arrive, Valsrine ne succombait pas a ses pulsions primaires…
préférant l’intellectuelle. (Ce qui le rend redoutable). Ils les gardaient lors
des combats, ou toute sa violence et sa tendance destructrice ce libérait.
Une sorte de grondement sortie de la gorge de l’étalon noir…
puis ses yeux rouge reprirent leurs couleurs initiales : vert.
Il continua à manger, accentua son illusion, la brume noir
se transforma en mur d’acier… laissant un isolement entre eux et le monde réel.

L’étalon garda un œil sur Quiero, tout en concluant
mentalement les fais et geste de la jument, qui ne semblait pas se calmer …
allait-elle reprendre ses esprits ?

(ah … ca aurait été dommage de la tuer ^^).





Valsrine attendit docilement… sentant comme une indécision,
puis une accalmie, il déploya ses antennes… Pour lire dans les pensées
tortueuse de la jument … dû moins ressentir ce qu’il aurait pu manquer a sa
conversation (bah oui ca lui arrive de rater quelque chose ^^), pour qu’elle
sombre dans une mini folie… ne cherchant pas à écouter les questions, il se
concentra plutôt sur les émotions et des impressions. Largement suffisant pour
comprendre ce qu’il lui avait échappé. Valsrine malgré son intelligence, avait
tendance a oublié le fondamental du mal… toute chose démoniaque est pousser par
une bonne chose… tout être est équilibré entre les deux, avec un pourcentage
plus élever dans l’un ou dans l’autre.


Quiero, avait besoin de contrôler sa partie malsaine… de
toute manière Valsrine l’avait poussé dans son coté obscure. Et comme toute novice
(de clan autre que les Hadès), elle était empreint aux doutes, au bien et aux
questionnements si la justice et la conscience…





Valsrine était assez satisfait d’avoir rencontré un
herbivore qui sut goutter la chair et l’apprécier … il n’allait pas l’abandonner
en si bon chemin. (Qu’il est meugnon ^^).


Il attendit de longue minutes avant de se retiré de l’esprit
de la jument … au fond de lui il était excité par sa curiosité toujours assoiffé
de nouvelles découvertes, et de l’autre énerver … d’avoir raté une chose
fondamental, qui aurait pu le pousser a mal juger. D’ailleurs l’un de ses yeux
était rouge sang, signe de son agacement envers lui-même. Et l’autre émeraude,
marquant sa curiosité.





-pour une jument née dans un autre clan que les Hadès, il en
devient normal de douter et de prendre peur de son coté obscure, surtout quand
celui-ci révèle la mort.





Valsrine fit disparaître son illusion dans cou de queue,
avant de marcher un peu… les vautours finiront leur repas.





-aujourd’hui vous avez découvert, que vous pouvez donner la
mort et dévoré un congénère … il ne faut pas refouler cette part de mal. Car un
jour elle ressortira encore plus puissante et vous détruira… (Folie). De quoi avez-vous peur Quiero ? Du
jugement de votre dieu ? Des autres ? Du mal que vous pouvez causer ?
De votre jugement sur vous-même ? (conscience)





Toutes ses questions, était un cours théorique … les leçons
qu’on donne aux poulains Hadès, qui ne savent pas contrôler leur pulsions
meurtrières… Valsrine était entrain de l’aider… même si ca méthode pouvait
surprendre la demoiselle.





(bon je sais pas si c’est ce qu’elle attend … comme aide^^)

Le grand équidé, la toisa ; attendant tranquillement
que ses pensées chemine … il se connecta a son esprit, observant à nouveau les
courbes émotionnelle, et la réflexion de celle-ci … quand elle parla, il était
bercer par les ondes psychique… même si son état ne trahissait pas la parfaite
immobilité de son corps et son expressivité aussi platonique que l’univers.





La conscience… beaucoup de chevaux, parle de celle-ci … c’est
elle qui fait la peur et la culpabilité. On a tendance à croire que les chevaux
du mal en n’ont pas. Ceci est faux, tout être en est doté. Il faut juste
apprendre à la raisonner.





-une vielle amie. Chaque individus en a une… même moi. Sauf que
je la perçois autrement.


Votre conscience à peur des dégâts… deux forces vous habite,
on parle du bien et du mal… mais aucune des deux est meilleurs. Tuer pour se
nourrir est le commun de nombreuses créatures, et pourtant elles ne le
regrettent pas. Considérer que vos actes sont justifié et nécessaire a votre
survie.





Son raisonnement était bien sage… il fit une pause,
permettant a la jument de faire une réflexion sur ses propos avant de continuer…
il la toisa a nouveau, les yeux noisette de celle-ci brillait… une peur ? Non
l’incompréhension…





-pensez vous que votre acte et mal ? Et pourquoi ?